Il est peut-être là le temps où les Gabonais pourront fièrement vanter l’évolution infrastructurelle de leur territoire. En lieu et place de ce sempiternel refrain «pourtant vous allez chez les autres mais vous êtes incapables de reproduire ce qui est bien chez nous». Le modèle des pays voisins arrive enfin chez nous! Grâce à la vision du chef de l’État, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA qui a placé au centre de son projet de peindre un nouveau visage de Libreville, du Gabon, enraciné dans une vision de développement durable, ou les infrastructures sont à la fois modernes, cohérentes et inclusives.
Le chef du gouvernement ne ménage aucun effort afin de changer le visage du Gabon à travers la construction de plusieurs bâtiments administratifs, baptisés cité émeraude comprenant 14 bâtiments de R+8 et R+9 / qui vont abriter plusieurs ministères,dont 450 personnels auront désormais des espaces de travail. Construite par le feu président Omar Bongo Ondimba et ayant abrité des événements historiques tels le sommet de l’UOA en 1977 et la conférence nationale de 1990, la cité de la démocratie avait été détruite et Brice Clotaire Oligui Nguema qui est résolument décidé à redorer l’image du Gabon dans le concert des nations à redonné vie à ce site historique à travers la construction de plusieurs bâtiments tels qu’un centre international du congrès, un palais présidentiel, plusieurs structures sanitaires et des logements pour les visiteurs de marque.
Plus loin, à quelques mètres de là, la Baie des rois, située sur le front de mer et établi sur une surface de 40 hectares illustre parfaitement les prémices de cette réalité d’ “une ville qui se transforme”. Le Président de la Banque africaine de développement (BAD), en visite sur le site, que l’on désigne désormais de zone spéciale d’investissement a touché du doigt les réalisations qui laissent entrevoir la vision des nouvelles autorités qui repense l’espace urbain de manière innovante et durable. Ladite zone qui compte plusieurs entreprises, espaces de loisirs et des immeubles variants de 30 en 50 étages.
En effet, inscrit au pilier 3 de son projet de société, la transformation d’infrastructures aux standards internationaux n’est pas seulement, pour le chef du gouvernement, un atout. C’est également une nécessité absolue pour attirer les investissements, stimuler l’économie locale et améliorer la compétitivité du pays.
Gouverner c’est aussi s’inspirer des bons exemples. Et en Afrique, de nombreux pays ont entamé la transformation de leurs infrastructures, à l’instar du Rwanda, de la Guinée équatoriale ou encore du Bénin, qui a dévoilé les images de la cité ministérielle, construite sur 5 hectares. Un projet abouti, réussi et moderne. Mais comme le dit le chef de l’État , la modernisation d’un pays exige des choix courageux et assumés. Ainsi, qu’il s’agisse de la future cité administrative, des centres urbains en réhabilitation ou des fronts de mer repensés, chaque projet architectural porte en lui une dimension stratégique, insufflée par le président de la République.
