[L]e 13 mars à son siège d’Owendo, l’Autorité de régulation des transports ferroviaires (ARTF), a convoqué une réunion de haut niveau technique en prélude à la réouverture du trafic du Transgabonais. Celle-ci a enregistré une mobilisation importante des exploitants de la voie ferrée, qui ont répondu présent à l’initiative de l’ARTF. Pour le Secrétariat exécutif de la Société d’exploitation du transgabonais (SETRAG), cette rencontre visait à édifier l’ensemble des opérateurs ferroviaires, miniers et forestiers, sur la méthodologie des travaux réalisés, sur la zone PK333+500 qui a endommagé la voix, suite au glissement de terrain du 24 décembre 2022.
C’est donc en présence du Président du Conseil de régulation, Baba TOUKOUR, la Direction générale de la Setrag a édifié les participants de ce sommet quant aux travaux qui ont été exécutés sur la zone impactée. Notamment sur la problématique de la sécurité des personnes et des biens en termes de contrôle–qualité des experts. D’autant que le secteur ferroviaire est un enjeu majeur du développement économique du pays.
Pour l’ARTF, cette réunion était plus que nécessaire. Car, il est essentiel pour toutes les parties concernées, de créer un cadre
d’information favorable, à même de rassurer les opérateurs économiques
présents. Dans la perspective d’une communication anticipée sur la gestion du plan de transport fret et marchandises, afin d’approvisionner les produits de premières
nécessités vers les populations, comme instruit par les plus hautes autorités.
MEZ
