[A]près avoir été sommée par la gouverneure de l’Estuaire, Marie Françoise DIKOUMBA de ramener de l’ordre au sein de l’hôtel de Ville de Libreville, Christine MBA NDUTUME, l’édile est revenue les actions mises en place par la mairie pour favoriser un retour au calme, au mépris des syndicats. Selon elle, 6 des 8 syndicats que compte l’hôtel de Ville empêcheraient la tenue d’un dialogue, alors que l’adoption d’un nouveau système de rémunération et la promotion subséquentes des agents municipaux ont d’ores et déjà acquises. La preuve pour Christine MBA NDUTUME que les syndicats seraient purement et simplement de “mauvaise foi”, est que les travaux de validation de ces décisions par la commission ad hoc n’ont pu se tenir car, «les représentants des syndicats exigeront de nouveaux préalables», regrette-elle, dans les colonnes de “L’Union” (N 14200). Mais voilà quatre mois maintenant que la mairie enregistre de nombreuses «dérives commises sur l’ensemble des services municipaux, par ces syndiclistes», s’insurge t’elle alors que cette situation s’est transformée en une véritable épine dans le pied de Christine MBA NDUTUME.
Libreville: en guise d’accalmie, MBA NDUTUME fustige la “mauvaise foi” des syndicats
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