[S].P TCHITOMBET, quadragénaire de nationalité Gabonaise résident à Port-Gentil, a été écroué à la prison centrale de la capitale économique pour avoir violé durant quatre (4) ans, L.A.J.I.M, la fille de sa concubine. Le calvaire de l’enfant durerait depuis 2020.
L’agresseur sexuel présumé vivait sous le même toit que sa compagne, H.O.H, et ses deux enfants dont la victime et son frère, au quartier Balise, dans le 3e arrondissement de Port-Gentil. La mère H.O.H en quête d’emploi, s’était déplacée sur Libreville pour un court séjour dans la capitale Gabonaise. Mais les choses se compliquent tant et si bien que H.O.H est obligée de prolonger son séjour.
Une aubaine pour S.P. TCHITOMBET qui, en l’absence de sa concubine, transforme la gamine sans défense en objet sexuel. La victime n’avait de répit que lorsque son bourreau de beau-père, employé d’une compagnie pétrolière de la place, allait sur site. Le calvaire de L.A.J.I.M continue après le retour à Port-Gentil de la mère qui est loin d’imaginer ce que son compagnon faut subir à sa fille.
Quand elle commence à se plaindre de violentes douleurs au bas-ventre, S.P. TCHITOMBET recommande simplement à la gamine de prendre quelques comprimés d’Ibex, un anti-inflammatoire vendu en pharmacie. C’est un appel téléphonique que reçoit sa fille qui va mettre la puce à l’oreille de H.O.H. De fait, l’interlocuteur au bout du fil est enregistré dans le répertoire du portable sous le dénominatif de « mon amour ». La mère soupçonne alors d’être aussi devenue sexuellement active comme la nièce de S.P. TCHITOMBET.
Ainsi mise sous pression, la gamine craque et relate toute l’histoire à H.O.H. Les vaines tentatives de S.P. TCHITOMBET pour persuader sa victime de garder le silence s’avéreront vaines. Toutes ses déclarations sont enregistrées dans un téléphone Android dans lequel la puce de L.A.J.I.M a été mise. Au récit accablant de la gamine viennent donc s’ajouter les propres aveux de l’agresseur sexuel présumé qui est de suite interpellé et écroué.
MEZ