Activistes aux mœurs anciennes: Faut-il affréter un train pour qu’ils rejoignent le quai du changement ?

L’essor vers la félicité, la bâtisse d’un édifice nouveau, des mots que les gabonais chantent avec fierté pour témoigner de leur attachement à leur pays et leur espoir de le voir participer au concert des Nations. Ces mots semblent n’avoir aucun sens pour un groupuscule de leaders d’opinions autoproclamés, promoteurs de l’injure publique, de la diffamation, acteurs de premières loges du chantage aux personnalités et institutions, nichés au sein de la diaspora. S’identifiant comme des activistes et/ou influenceurs ces professionnels des lives sur les réseaux sociaux excellent à détourner les gabonais du vrai combat, d’un objectif palpable: l’essor vers la félicité, la construction de cet «édifice nouveau auquel tous nous rêvons», et que le Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA n’a de cesse de mettre en branle.

Des «perfides trompeurs», qui boycottent la vision du Chef de l’État, élu à la grande majorité des voix des gabonais, tant sur le territoire que dans la diaspora. Semant sur la toile leur poison riche du seul langage qui leur est connu, l’injure, la diffamation, la grossièreté et le verbiage ordurier. Répandant la peur de la déception, chez des compatriotes qui nourrissent l’espoir de voir, avec leur nouvel élu, le Gabon longtemps en otage, enfin libéré de ses chaînes et en marche vers son développement. S’il va s’en dire que l’action humaine reste à parfaire, pour cela, l’activiste doit jouer le rôle de l’individu qui combat, qui lutte pour une cause, une idée ou un parti.

Mais, attachés aux pratiques de l’ancien régime, qui les rémunéraient sur le dos du contribuable pour contenir leur venin, ces activistes du chantage ont loupé le train du changement politique, de l’alternance des mentalités et de la construction participative à laquelle tous les gabonais d’ici et surtout d’ailleurs ont été conviés. Vierges de tous péchés, ils divulguent, diffament, discréditent et vilipendent sans proposer d’alternatives à l’existant. Une pratique que l’on pourrait qualifier de critique stérile et nuisible.

Sous d’autres cieux, les activistes dénoncent, s’indignent parfois mais portent les attentes de la diaspora, de leurs compatriotes. Au Sénégal, Yero SARR un militant écologiste âgé de 24 ans est connu pour avoir fondé la branche sénégalaise du mouvement international Fridays for Future en 2018 et pour son engagement dans la justice climatique et la gestion durable des ressources en eau en Afrique. Il a été nommé par le prestigieux magazine Forbes dans la liste des « 30 under 30 Afrique », récompensant les jeunes africains les plus influents. Lequel des activistes gabonais pourraient prétendre à ce type de reconnaissance, surtout pas de prétendus journalistes d’investigation, encore moins des défaiseurs de réputation aux pseudos qui frisent le ridicule.

L’heure n’est plus à la distraction, mais à la construction. Il appartient dorénavant aux gabonais d’exiger de leurs “activistes des sujets qui participent à l’essor du pays, des positions qui volent au dessus de la ceinture et qui contribuent à rehausser l’image de la nation aux yeux du monde. Il est d’un regret amer de constater que le président de la République par de multiples ctions veut relever l’image du Gabon auprès de ses pairs du monde et que quelques individus sabotent cet effort, y mêlant les gabonais par la tromperie.

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