[C]’est la nouveauté de la campagne d’enrôlement en préparation aux élections générales à venir. Les données biométriques, sont désormais intégrées dans le processus d’identification des électeurs et celle ci semble constituer une solution des plus sûre et transparente, un frein à la fraude électorale. L’enrôlement biométrique apparaît, en effet, comme la première étape pour la tenue d’élections réussies, tant ce procédé permet de s’assurer que tous les électeurs disposant du droit de vote aient l’opportunité de s’inscrire. L’utilisation de la biométrie, habituellement les empreintes digitales, élimine le risque d' »électeurs fantômes » et permet de nettoyer une liste d’électeurs de citoyens s’étant fait enregistrer à de multiples reprises. Grâce à ce procédé, les données d’enrôlement sont rassemblées et validées par une procédure de validation stricte afin de s’assurer que chaque électeur n’est repris qu’une seule fois sur la liste finale. L’enrôlement biométrique procède à la vérification des données biographiques pour chaque personne enregistrée et utilise des caractéristiques biométriques, tels que les empreintes digitales, le visage our l’iris, dans le but d’éliminer les tentatives d’enregistrements multiples par une même personne. Avec l’inscription biométrique, adieu les électeurs fictifs.
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